L'info en continu
À la une
Alain Leboeuf : "Les Vendéens sont fiers de leur course"
Alain Leboeuf, président de la Saem Vendée et du département de la Vendée, s'est exprimé depuis les pontons de Port Olona, avant le départ de la Vendée Arctique : "Les Vendéens sont fiers de leur course. C’est une nouvelle première pour nous, cette Vendée Arctique, une nouvelle fête pour la Vendée en préparation de la 10è édition du Vendée Globe 2024. Je souhaite à chacune et un chacun de nos skippers un bon vent comme on le dit de coutume et de rencontrer ces milieux extraordinaires du pôle. Chers skippers, allez y, vivez à fond, donnez-nous de belles images pour que nous soyons une fois de plus fiers de ce que vous faites !"
Conrad Colman : "Revenir ici dans deux ans"
Conrad Colman (Imagine) : "Je suis juste heureux d'être sur cette course et de faire le tour de l'Irlande. C'est complètement nouveau pour moi et pour tout le monde. Pour quelqu'un du bout du monde au Sud comme moi, aller au bout du monde au Nord comme ça, c'est très excitant ! J'ai pris des bottes car, visiblement, ça n'est pas l'été là-bas. Mon principal objectif est surtout de revenir ici dans deux ans pour le Vendée Globe."
Pip Hare : "Finir, en vue de la qualification pour le Vendée Globe"
Pip Hare (Medallia) : "Oui c’était long cette journée. L’objectif de cette course est d’analyser et de m'améliorer. Je vais aussi observer les autres bateaux de la même génération et mesurer ma performance par rapport à eux. Je pense que c'est une super expérience pour moi pour apprendre, et une course à finir bien sûr, en vue de la qualification pour le Vendée Globe."
Kojiro Shiraishi : "C'est une deuxième maison, les Sables"
Kojiro Shiraishi (DMG Mori Global One) : "Pouvoir revenir ici aux Sables, ça fait vraiment plaisir. C’est une deuxième maison pour moi. Je suis très content d’être ici. L'Islande, c'est la première fois pour moi, j'ai hâte de découvrir ce nouveau parcours et ce qui se cache derrière. Le bateau est en très bonne condition, l'équipe a bien travaillé. J’espère une bonne place à l’arrivée."
Manuel Cousin : "Enfin du public !"
Manuel Cousin (Groupe Sétin) : "L’émotion est là, forcément, ça fait un moment qu’on attend cette course, on a un plaisir énorme parce qu’on a enfin du public. Cette course est super importante, engagée. On est contents de partir et en même temps il y a toujours cette petite boule au ventre parce qu’on sait qu’on va vers des endroits pas faciles à naviguer. On va se battre contre les bateaux à dérives, le but c’est pourquoi pas d’aller faire un podium avec les bateaux à dérives.
Nicolas Lunven : "On ne pense qu'à la course"
Nicolas Lunven (Banque Populaire) : "Un départ à 17h, ça permet de faire une grasse mat' et les derniers petits préparatifs ! On ne pense qu’à la course. L'équipe a fait un super boulot, je suis content de partir. Ma vision des premières heures, c’est qu’il ne faut pas mollir dès le début car on a une transition avec du vent très faible. Les premiers à sortir de cette zone retoucheront du vent."
Fabrice Amedeo : "Ramener de la data à la communauté scientifique"
Fabrice Amedeo (Nexans - Art & Fenêtres) : "J'ai trois objectifs : faire un bon résultat et bien naviguer ; terminer car c'est une course qualificative et sélective pour le Vendée Globe ; et aussi le projet scientifique, j'ai deux capteurs qui vont tourner 24h/24 pour ramener de la data à la communauté scientifique, car nous allons très Nord, des lieux où peu de bateaux vont."
Eric Bellion : "J'imagine déjà mes premières manoeuvres"
Eric Bellion (CommeUnSeulHomme) : "Il y a plein de sentiments partagés qui rentrent dans ma tête et mon cœur. C'est le troisième départ que je fais en solitaire. J'imagine déjà mes premières manoeuvres, tout est déjà clair dans ma tête et après place à l’imagination avec une météo pas simple. L’objectif c’est de continuer à me faire vraiment plaisir, car je marche très bien quand je suis vraiment heureux."
Les supporters de Thomas Ruyant (LinkedOut) sur le chenal des Sables d'Olonne
Szabi Weores : "Très excité de prendre le départ"
Szabolcs Weores (Szabi Racing) : "Je suis très excité de prendre le départ de cette belle course. Nous nous sommes préparés autant que possible ces deux dernières semaines, j'espère que le bateau est prêt, moi oui, je suis confiant pour la suite. L'objectif est de toute façon de finir la course et poursuivre mon objectif principal : le Vendée Globe 2024."
Benjamin Dutreux : "Ca permet de s'étalonner"
Benjamin Dutreux : "C'est chouette de pouvoir proposer cette course au public vendéen. Maintenant c’est le moment de partir vers le Nord. Une régate à 25 Imoca à plus de deux ans du Vendée Globe, ça permet de s'étalonner. Le bateau est nouveau pour nous, le découvrir prend beaucoup de tempe. C'est seulement ma deuxième course sur ce bateau, j'espère revenir avec une grande liste de travail."
VDH salue les skippers de la Vendée Arctique
Jean-Luc Van den Heede, Sablais et skipper émérite dans les années 1990, participant des deux premiers Vendée Globe notamment, est présent à Port Olona pour saluer le départ des 25 concurrents. Manuel Cousin, skipper de Groupe Sétin, au moment de larguer les amarres : "C'est un honneur de t'avoir sur les pontons VDH !"
Thomas Ruyant : "Il y aura du match"
Thomas Ruyant (LinkedOut) : "Un départ en fin de journée, c'est un peu étonnant, on a plutôt l’habitude de partir en matinée, donc on a eu le temps de cogiter le départ, faire un peu de météo. Les premières heures de course seront rapides pour nos bateaux, pour les foilers. Après des petits pièges assez rapides avec une première dorsale, un front à passer. C’est parfait, il y aura du match."
Sébastien Marsset : "L'objectif est de boucler la boucle"
Sébastien Marsset (Cap Agir Ensemble #SponsorsBienvenus) : "On a bien profité du public sur la période du village. Maintenant, c'est l'heure de partir ! L'objectif est de boucler la boucle et de prendre de l'expérience dans des conditions que je n'ai pas encore rencontrées avec mon bateau."
Guirec Soudée : "Revenir avec un petit bout de glaçon"
Guirec Soudée (Freelance.com) : "Je suis ému de partir, de voir beaucoup de têtes que je connais. J’ai hâte de me retrouver sur mon bateau, seul en mer. J'aime les gens mais j’aime être seul aussi. L’objectif c’est de finir et revenir avec un petit bout de glaçon et apprendre, toujours apprendre, faire l’éponge et connaitre le bateau sur le bout des doigts."
Louis Duc : "Une fois qu'on est en mer, tout roule!"
Louis Duc (Fives - Lantana Environnement) : "On a envie d’y aller, de larguer les amarres. Il y a un peu de stress de quitter le ponton. Une fois qu'on est en mer, tout roule ! On borde et c’est parti. Ce qui m'éclate, c'est de me retrouver seul sur mon bateau, de voir les copains autour et d'essayer d'aller plus vite qu'eux. C'est ce que je viens chercher !"
Alan Roura : "Un mini Vendée Globe"
Alan Roura (Hublot) : "Je vais m’engager comme dans chaque course, c’est un engagement physique et humain, avec un parcours très atypique où finalement on a peut-être tous un peu sous-estimé l’importance de la préparation de nos bateaux et de nous-même, parce que c’est un mini Vendée Globe."
Benjamin Ferré : "Ça va être un truc de malade de faire le tour de l'Islande"
Benjamin Ferré (Monnoyeur - Duo For A Job) : "Mon ambition est de finir la course. C'est écrit en gros dans mon bateau ! Ça va être un truc de malade de faire le tour de l'Islande. L'objectif, c'est d'être heureux en mer, jusqu'au bout du parcours. Je suis stressé, mais c'est toujours comme ça jusqu'à ce que j'entende "Bon départ" à la VHF."
Denis Van Weynbergh : "Que du plaisir !"
Denis Van Weynbergh (Laboratoires de Biarritz) : "On a eu la séquence émotion avant, maintenant on est prêt pour le départ. On a hâte d’être sur l’eau, de descendre ce fameux chenal et d'aller sur la ligne. Le début va être rapide puis ça va ralentir. Ce n'est que du plaisir !"
Isabelle Joschke : "Il faut partir vite et ne pas s'arrêter trop longtemps dans la dorsale"
Isabelle Joschke (MACSF) : "Il un peu de tension et de la concentration. Et à la fois, j'ai hâte de partir ! Le scénario c’est de partir vite et de ne pas trop s’arrêter longtemps dans la dorsale."